Il analyse les deux raisons principales des craintes liées au chômage, notamment la baisse du pouvoir d'achat et l'isolement. Il démonte les arguments liés aux deux, en expliquant que la réponse résiderait dans une gestion différente de la vie quotidienne.
En ce qui concerne les aspects financiers, l'auteur affirme que beaucoup des dépenses que les gens font sont inutiles et que, de ce fait, les réduire ne mènerait pas nécessairement à une baisse du niveau de vie difficile à supporter. Pour ce qui est du risque d'isolement, l'auteur considère que le fait de ne plus « aller au boulot » permettrait de faire de nouvelles rencontres, avec des personnes choisies.
En somme, l'auteur ne nie pas le fait que le chômage peut être un drame pour les personnes ayant un besoin vital des revenus provenant du salaire. Cependant, pour les autres, il estime que le chômage n'est pas la catastrophe qu'on est habitués à craindre mais qu'il demande la capacité de voir les choses différemment.