Exercice : Cohérence des idées
Les extraits de texte ci-dessous constituent les différentes parties d'une possible synthèse des documents proposés, dans le désordre.
Remettez dans l'ordre ces différentes parties.
1
En effet, d'un côté, le chômage a certains effets négatifs sur la vie du chômeur. Tout d'abord, il s'agit des modifications du train de vie, qui concernent essentiellement la réduction des dépenses. Ensuite, la vie sociale du chômeur est impactée car le fait de ne plus avoir de travail élimine aussi les relations avec les collègues. Enfin, le chômage, ainsi que l'affirme Paul-Henri, soumet la personne au regard critique de la société qui met beaucoup de pression sur lui.
2
Pour conclure, les deux textes ne militent pas pour le bannissement du travail mais affirment que le chômage, en dehors des situations dramatiques, permet une liberté très appréciable. Cela, à condition que la personne soit capable de changer sa vision des choses. Paul-Henri aime tellement sa liberté qu'y renoncer serait pour lui abandonner un idéal de vie et qu'il préférerait trouver un travail à mi-temps pour pouvoir continuer à en profiter.
3
Néanmoins, de l'autre côté, le chômage engendre également des changements positifs. Premièrement, il s'agit du fait de disposer de plus de temps. Paul-Henri en est satisfait car cela lui permet de faire les choses qu'il aime, notamment rénover une maison à la campagne dans laquelle il s'est installé. Deuxièmement, comme l'affirme Ioana Thiéry, si le chômage nous enlève les collègues de travail, il peut également être l'occasion de rencontres plus intéressantes.
4
Les deux documents proposés abordent la problématique du chômage, vu non comme une situation dramatique, mais comme une opportunité. L'un est un texte écrit par Ioana Thiéry, intitulé « Ne perdez pas votre vie à la gagner »
. Il s'agit d'un texte ironique qui s'insurge contre la vision catastrophiste du chômage. Le second document est un entretien réalisé par Élodie Font avec Paul-Henri, un jeune homme au chômage depuis un an. Cet entretien a été publié sur StreetPress, le 10 avril 2012. Si les auteurs des deux textes admettent que le chômage engendre certaines difficultés, ils pointent également les bénéfices que l'on peut tirer de cette situation.
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Les deux documents proposés abordent la problématique du chômage, vu non comme une situation dramatique, mais comme une opportunité. L'un est un texte écrit par Ioana Thiéry, intitulé « Ne perdez pas votre vie à la gagner »
. Il s'agit d'un texte ironique qui s'insurge contre la vision catastrophiste du chômage. Le second document est un entretien réalisé par Élodie Font avec Paul-Henri, un jeune homme au chômage depuis un an. Cet entretien a été publié sur StreetPress, le 10 avril 2012. Si les auteurs des deux textes admettent que le chômage engendre certaines difficultés, ils pointent également les bénéfices que l'on peut tirer de cette situation.
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En effet, d'un côté, le chômage a certains effets négatifs sur la vie du chômeur. Tout d'abord, il s'agit des modifications du train de vie, qui concernent essentiellement la réduction des dépenses. Ensuite, la vie sociale du chômeur est impactée car le fait de ne plus avoir de travail élimine aussi les relations avec les collègues. Enfin, le chômage, ainsi que l'affirme Paul-Henri, soumet la personne au regard critique de la société qui met beaucoup de pression sur lui.
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Néanmoins, de l'autre côté, le chômage engendre également des changements positifs. Premièrement, il s'agit du fait de disposer de plus de temps. Paul-Henri en est satisfait car cela lui permet de faire les choses qu'il aime, notamment rénover une maison à la campagne dans laquelle il s'est installé. Deuxièmement, comme l'affirme Ioana Thiéry, si le chômage nous enlève les collègues de travail, il peut également être l'occasion de rencontres plus intéressantes.
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Pour conclure, les deux textes ne militent pas pour le bannissement du travail mais affirment que le chômage, en dehors des situations dramatiques, permet une liberté très appréciable. Cela, à condition que la personne soit capable de changer sa vision des choses. Paul-Henri aime tellement sa liberté qu'y renoncer serait pour lui abandonner un idéal de vie et qu'il préférerait trouver un travail à mi-temps pour pouvoir continuer à en profiter.